Lancée à l’occasion du Silmo 2018, la marque de lunettes dédiée aux hommes AirArt, a été pensée par Frédéric Pons, fondateur de la société H&S. Après 15 ans sur le marché de l'optique pour des marques premium telles que TAG Heuer Eyewear, ce dernier a décidé de trouver une solution à un problème que beaucoup d'amétropes rencontrent. 

Il est parti d’un constat : en fonction de sa prescription, un verre correcteur peut s’avérer jusqu’à 4 fois plus lourd qu’un verre de démonstration. Une différence sensible qui affecte la répartition des masses de l’équipement optique. De là résulte un déséquilibre inconfortable pour le porteur qui sent ses lunettes glisser sur le nez. Conséquence d’autant plus dommageable lorsque l’alignement de la pupille et du centre optique du verre n’est plus préservé.

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Grâce à un principe de branches à géométrie variable, les montures AirArt permettent un ajustement individualisé de leur centre de gravité et de leur équilibre en fonction du poids réel de chacun des verres correcteurs du porteur. Cette technologie permet de rééquilibrer jusqu’à 70% des prescriptions du marché.

Les montures sont dessinées à Paris et conçues en France, en Italie et en Suisse. Leur fabrication fait appel aux savoir-faire artisanaux et aux technologies d’avant-garde.

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En complément du platine et de l’or, garantis par un poinçon d’orfèvre, la marque exploite la technologie DiamondBlack, directement issue de l’aéronautique. Les pièces en métal polies ou brossées à la main sont revêtues de particules de diamant et de graphite pour une protection supplémentaire.

Les prix publics débutent à 470€ (ruhténium et platine), à 570€ (diamondblack) et à 590€ (or 21 carats). Leur commercialisation est prévue en février 2019.