La journée mondiale du diabète le 14 novembre est l’occasion pour Optic 2000 de mettre l’accent sur son engagement dans l’accompagnement des personnes malvoyantes touchées par cette maladie et l’une de ses  complications : la rétinopathie diabétique. 

Elle est la première cause de cécité avant l’âge de 65 ans*. 

Les patients diabétiques malvoyants doivent bénéficier d’un suivi adapté, ils sont en général plus jeunes que les personnes touchées par d’autres maladies oculaires, et encore en activité professionnelle. Des caractéristiques auxquelles les opticiens des Points experts basse vision (déployés dans les magasins depuis 2009) sont sensibilisés via les formations en continue dispensées par Optic 2000.  

Au sein des Points experts basse vision, un opticien spécialisé évalue les capacités visuelles et détermine avec le porteur malvoyant les aides visuelles adéquates. Parmi les équipements disponibles, l’enseigne propose des dispositifs grossissant allant de 2 jusqu’à 85 fois. D’autres assistances, comme un éclairage spécifique ou des filtres favorisant les contrastes, permettent d’améliorer les perceptions visuelles. Si nécessaire, l’opticien peut prêter du matériel afin que le patient puisse l’essayer à son domicile. Il peut également orienter le malvoyant vers des structures plus adaptées ou des associations. 

Engagée dans la basse vision, la Fondation Optic 2000 a inauguré en 2010 le Cecom (Centre d’essais et de conseils en optique pour les personnes malvoyantes), à Paris. Un 2centre a vu le jour à Lille en 2016 et un 3e à Besançon

Pour rappel, la basse vision se caractérise par une acuité visuelle située entre 1 et 3/10e (après correction) et d’un champ visuel fortement restreint, inférieur à 20°. Plus de 2 millions de Français sont touchés par cette déficience*. 

 

*Source : Institut de la Vision