Lumière bleue : Une rentrée sous haute protection avec Essilor

En cette période de rentrée, Essilor poursuit sa mission dans le domaine de la santé visuelle et informe les parents sur les effets nocifs de la lumière bleue. Le verrier entame une nouvelle campagne de communication dans la presse écrite et sur Internet, durant tout le mois de septembre. Les magazines de parents d’élèves ainsi que plusieurs sites web seront le relais, et donneront aux parents des conseils éducatifs.

« La volonté d’Essilor France est de sensibiliser fortement les parents, et en particulier les mamans, aux dangers de la lumière pour les yeux de leurs enfants », insiste le fabricant français. Le message est simple : « Nous sommes tous de plus en plus exposés aux lumières nocives et nos enfants le sont particulièrement ! A la rentrée scolaire, choisissez Crizal Prevencia comme solution indispensable pour protéger les yeux de vos enfants ».

Pour renforcer sa communication auprès des consommateurs, Essilor propose aux porteurs de se rendre sur le site mavuemeslunettes.fr qui décrypte les différents troubles visuels (myopie, hypermétropie, astigmatisme…) et vulgarise les dangers de la lumière bleue nocive auprès du grand public.

La lumière bleue, un sujet de préoccupation

Notons également que la lumière bleue devient un sujet de préoccupation et la presse grand public, notamment, s’en fait le relai. « Faut-il s'équiper contre la lumière bleue de nos écrans ? » ou « Pourquoi la lumière des Led pourrait être toxique pour les yeux ? », plusieurs articles parus ces dernières semaines évoquent les dangers de ces rayons nocifs. 

« On ne doit pas s'inquiéter outre mesure et mettre tous nos écrans à la poubelle, rassure toutefois Serge Picaud, chercheur à l'Institut de la Vision à Paris, dans une dépêche AFP. Il faut relativiser, car les intensités lumineuses produites par nos écrans sont quand même relativement faibles par rapport au soleil. (...) Ceux qui s'inquiètent de la toxicité de nos écrans ont-ils tous mis des lunettes cet été à la plage ? », dédramatise le scientifique. « C'est surtout la surconsommation qui pose problème, renchérit Vincent Gualino, ophtalmologue à l'hôpital Lariboisière de Paris et à Montauban. Les plus jeunes sont les premiers à protéger. Ils ont un cristallin clair et ils vont être exposés pendant 40 ou 50 ans ». Les personnes prédisposées à une « dégénérescence maculaire liée à l'âge » (DMLA) devraient aussi s'équiper, ajoute-t-il.