Prenez date ! Le dimanche 20 mars, dans l’émission E=M6 diffusée à 20h05 sur M6, le présentateur Mac Lesggy et son équipe se penchent sur le sujet de la pollution lumineuse. Dans le cadre des reportages, un sujet a été tourné au laboratoire de photobiologie de l’Institut de la Vision et la parole sera notamment donnée à Essilor sur les effets néfastes cumulatifs de la lumière bleu-violet sur la santé visuelle et sur les conséquences de la vie connectée sur la vision.

« La lumière bleue, entre 380 et 500 nm, est présente partout : en proportions majeures dans la lumière du jour, mais aussi à bien moindre mesure par les LED blanc froid, la lumière d’éclairage intérieur, de PC, de Smartphone ou de tablettes », rappelle Coralie Barrau, ingénieur de recherche en optique de R&D Essilor. Or, cette lumière bleue est un facteur de risque de la Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age (DMLA). Dans le reportage, Mélanie Marie, docteur en biologie à l’Institut de la  Vision, montre que c’est une bande spectrale précise du bleu, la lumière bleu-violet 435 nm ±  20nm, qui induit le plus de dégénérescence des cellules de rétine.

schema.png

Pour réduire le risque, Coralie Barrau explique que « le traitement Crizal Prevencia, par son filtrage optique photo-sélectif, contribue à la protection de la rétine en rejetant 20% de la lumière bleu-violet nocive, et laisse passer la lumière bleu-turquoise, moins énergétique, essentielle à la régulation de nos rythmes  biologique ».

L’émission mettra en évidence que les outils digitaux émettent de la lumière bleue, bleu-turquoise, mais aussi bleu-violet. Une utilisation intensive des appareils numériques sollicite aussi de façon soutenue la vision de près (accommodation) et entraîne une fatigue visuelle. Pour ces raisons, Essilor rappelle que « l’association du verre Essilor Eyezen, qui soulage l’effort accommodatif et limite la fatigue visuelle, au traitement Crizal Prevencia, est une solution adaptée à l’usage intensif des écrans qu’on soit atteint ou pas d’un défaut visuel ».

« Cette émission de forte audience, 3 millions de téléspectateurs en moyenne, participe à la mission de sensibilisation et d’éducation qu’Essilor s’est fixée. Le téléspectateur aura ainsi, par le biais de ce reportage, des informations concrètes sur cette lumière bleue dont on parle tant », se félicite Annie Rodriguez, directrice de la communication d’Essilor.