A l’occasion de la Journée Nationale de l’Audition le 9 mars, Krys manifeste son engagement pour la démocratisation des prothèses auditives. En cause, le prix élevé qui rend difficile l’appareillage au plus grand nombre. Le reste à charge est en moyenne de 1 800 euros pour les 2 oreilles*.

Faire évoluer le numerus clausus

Les chiffres l’attestent : en France, un tiers des 3 millions de patients ayant besoin d’une prothèse auditive n’y ont pas accès et seulement 15% bénéficient d’un appareil adapté. Autre élément important : environ 2 millions des plus de 65 ans ne seront pas équipés en 2018. « Il devient urgent de démocratiser l’accès aux audioprothèses. Cela passe par la réduction du coût à la charge du patient et par l’entrée de nouveaux acteurs sur le marché. Il faut également déverrouiller l’accès à la profession et faire évoluer significativement le numerus clausus. Un choc de régulation qui permettrait d’équiper tous ceux qui en ont besoin », affirme Jean-Pierre Champion, DG de Krys Group.

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Krys Audition en plein essor

Pour que la prévention et le dépistage deviennent des priorités, Krys s’engage dans la Journée Nationale de l’Audition. Créée en 2013, Krys Audition, 50 magasins ou corners en France, veut rendre la santé auditive accessible au plus grand nombre « en conciliant prix compétitifs et prestations de qualité ». « Le dépistage est indispensable pour prévenir la perte d’audition. Krys Audition s’inscrit dans une complémentarité parfaite avec notre enseigne d’optique : les porteurs de verres progressifs sont également susceptibles de développer des troubles auditifs. Le fait d’associer ces deux spécialités, en permettant aux audioprothésistes de travailler aux côtés des opticiens, prend donc tout son sens », explique Sylvaine Audrain, directrice de l’enseigne Krys.

Krys Audition a pour ambition d’ouvrir une cinquantaine de points de vente supplémentaires au cours des prochains mois.

*Sources Eurostrack et de l’Enquêt du Snitem, février 2017