Alors que le 1er confinement a commencé il y a tout juste 11 mois, la triste routine générée par cette crise sanitaire qui perdure pèse sur le moral de beaucoup de Français. Les confinés de force, les télétravailleurs, les salariés dont l’activité a cessé, les célibataires, les familles agglutinées dans des petites surfaces… Beaucoup de cas qui justifient le mal-être.
Et vous ? Comment allez-vous ? Vous sortez de chez vous ; voyez du monde, entre collègues et clients (pour ceux d’entre vous non concernés par la fermeture des grands centres commerciaux) ; rentrez même chez vous plus tôt d’habitude… Et, sur le plan professionnel, vous réalisez plus de ventes directes car il y a moins de demandes de devis. Mais est-ce suffisant pour être heureux ?
A vous de nous le dire, en répondant à notre sondage, plus bas sur cette page.
Une collaboration entre médecins généralistes, pédiatres et chercheurs
Le réseau Sentinelles ([...]) est un réseau de recherche et de veille en soins de premiers recours (médecine générale et pédiatrie) en France métropolitaine. Créé en 1984, il est développé sous la tutelle conjointe de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et de Sorbonne Université.
Les objectifs principaux du réseau Sentinelles sont :
la constitution de grandes bases de données en médecine générale et en pédiatrie, à des fins de veille sanitaire et de recherche ;
le développement d’outils de détection et de prévision épidémique ;
la mise en place d’études cliniques et épidémiologiques.
Au 1er janvier 2018, le réseau Sentinelles était composé de 1314 médecins généralistes libéraux (soit 2,1% des médecins généralistes libéraux en France métropolitaine) et de 116 pédiatres libéraux (soit 4,3 % des pédiatres libéraux en France métropolitains), volontaires, répartis sur le territoire métropolitain français. Les médecins membres sont dits « médecins Sentinelles ».
Ce réseau est coordonné par l'équipe "Surveillance et Modélisation des maladies transmissibles" de l'Institut Pierre Louis d'Epidémiologie et de Santé Publique (UMR-S 1136, anciennement UMR-S 707, 444 et 263) de l'Inserm et de Sorbonne Université, en collaboration avec l'agence nationale de Santé publique, Santé publique France. Il a obtenu une autorisation pour ses travaux scientifiques de la part de la CNIL (n ° 471 393).