Selon une étude menée dans 14 pays, c’est en France que l’on s’accorde le plus de temps pour déjeuner lorsqu’on travaille*, 45 minutes pour près de la moitié des Français. Mais comment tirer profit de ce moment ? Acuite vous donne quelques pistes. 

Partir serein

A 10 minutes de votre pause alors que la concentration se relâche, établissez une liste des tâches à accomplir pour la journée. Bien organisé, vous partirez plus léger. 

Parvenir à déconnecter 

Dans pause déjeuner, il y a « pause ». Pour s’aérer l’esprit, éviter les smartphones, mails, dossiers, etc. Et si vous partagez votre repas avec vos collègues (comme 80% des salariés**), le travail ne doit pas être au centre de votre conversation. 

Trouver l’équilibre entre efficacité, convivialité et moment de détente

Quel programme pour ce moment de la journée ? Networking pour nouer de nouveaux contacts professionnels à l’intérieur ou à l’extérieur de l’entreprise, convivialité en retrouvant vos amis qui travaillent dans le coin ou, encore, efficacité en vous occupant des corvées, car tout ce qui est fait à midi n’est plus à faire le soir. 

Il y a aussi les pauses en solitaire pour se ressourcer, la pause sportive pour stimuler la production d’endorphine (hormone du bonheur) et la pause travail pour terminer une tâche. 

Chaque formule a ses bienfaits mais sachez qu’à long terme, il est toujours meilleur pour la productivité et l’équilibre personnel de faire un vrai break.

Varier les plaisirs

Avec 5 jours, il est toujours possible de varier les plaisirs. Rattraper des dossiers le lundi, partager un bon moment le mardi, déjeuner avec vos collègues le mercredi, rencontrer de nouveaux collaborateurs le jeudi et appliquer vos bonnes résolutions en passant à la salle de sport le vendredi. 

Oser la sieste 

S’il vous reste du temps, 20 minutes d’assoupissement permettent d’être plus productif et efficace. Rien de tel qu’un petit somme pour diminuer le stress. 

*Etude d’Ideal Meal menée auprès de 2 500 salariés d’Edenred de 14 pays, 2017

**Etude Moneo Resto et CHD Expert, 2015