La société Luxottica France a collaboré avec BSA France à la régularisation de ses licences et à l’optimisation de sa politique logicielle.
 
Luxottica France appartient au groupe numéro 1 mondial de la fabrication de lunettes moyenne et haut de gamme. Elle distribue notamment la marque Ray Ban en France.
 
Au terme d’un audit de son parc logiciel, Luxottica France a détecté la présence de logiciels d’éditeurs membres de BSA pour lesquels elle ne détenait pas de licences en nombre suffisant. Afin d’être parfaitement en règle, elle a acquis des licences complémentaires pour un montant de 30.000 euros.
 
Etant elle-même une entreprise de création, Luxottica France reconnaît l’importance du respect de la propriété intellectuelle. Elle admet ainsi que sans audits réguliers et la mise en place d’une gestion attentive de son parc logiciel, il est vite facile de perdre le contrôle de la situation.
 
"Travailler avec BSA France nous a permis de faire le point sur nos licences, de régulariser notre parc logiciel et de mettre en place les procédures adéquates de gestion sur le long terme. Désormais, nous allons veiller scrupuleusement à ce que l’installation et l’utilisation de chacun de nos logiciels garantissent le respect des conditions stipulées dans les contrats de licence ainsi que des lois sur la propriété intellectuelle en vigueur", explique le directeur de Luxottica France.
 
En France, 47% des logiciels utilisés par les entreprises sont des copies illégales. Face à l’ampleur du phénomène, BSA France met en place des campagnes d’information destinées à faire prendre conscience aux dirigeants d’entreprises des risques qu’ils encourent en cas d’utilisation de logiciels illicites et fournit gratuitement des outils pour aider les entreprises à auditer leur parc logiciel et à mettre en place des procédures de gestion efficace des licences logicielles.
 
"Nous nous félicitons de la démarche responsable de Luxottica France et nous espérons également qu’elle permettra aux autres entreprises, qui pourraient se trouver dans une situation semblable, de mieux appréhender la nécessité de régulariser leur situation et de mettre en place des procédures de contrôle interne. Cette démarche est nécessaire tant pour le bon fonctionnement de l’entreprise que pour sa réputation. Ne pas être en conformité avec ses licences logicielles l ne confère pas une image de sérieux et de professionnalisme… pire encore, un jugement pour contrefaçon peut définitivement porter atteinte à la réputation d’une entreprise", conclut Eric Beaurepaire, Porte-parole de BSA France.
 
Source : communiqué de presse