Après Jérémie Beyou, troisième du dernier Vendée Globe, et le collectif de surfeurs Lost in the Swell, Aurélien Ducroz, rejoint le team d’ambassadeurs Costa Sunglasses en France.

Cet ancien champion du monde de ski freeride (2009 et 2011), quatre fois vainqueur de l’Xtreme de Verbier, excelle également dans le milieu maritime, avec une 4e place lors du Tour de France à la Voile 2016. Ambitieux et caractérisé par une volonté constante de progresser, il a d’ores et déjà prévu trois voyages en mer et montagne. Dans le cadre de la réalisation de documentaires, il traversera le Groenland, le Spitzberg et l’Amérique du Sud.

Pour Costa Sunglasses, Aurélien Ducroz incarne un aventurier moderne. Fort de sa soif de sensations extrêmes, il s’est imposé naturellement en tant qu’ambassadeur. Les verres polarisants bénéficient d’une réputation grandissante auprès des « water addicts ». Efficaces pour toutes les activités outdoor, ils permettent de concilier haute performance, endurance et protection. Des aspects primordiaux pour le sportif : « J’ai testé les lunettes Costa d’abord en mer. J’ai tout de suite aimé la qualité de ces verres polarisants hyper performants qui traduisent parfaitement les couleurs des risées et j’ai décidé de les tester à la montagne. La réverbération sur la neige est maximum et j’étais souvent ébloui avec mes lunettes précédentes. Avec les verres Costa, la réverbération est vraiment réduite et la lecture du terrain est améliorée. Je ne peux plus m’en séparer lorsque je monte vers les sommets ».

Outre les verres, Aurélien Ducroz apprécie également les montures : « L’ergonomie des lunettes est très importante pour moi, qui “brasse” beaucoup, sur mon trimaran Diam24 en mer comme lors de mes entraînements à ski. Je ne peux pas passer mon temps à réajuster mes lunettes en pleine action, et j’ai trouvé dans les lunettes de soleil Costa un maintien parfait. La forme couvrante est aussi un gage de protection des yeux. J’ai deux paires au style et aux couleurs de verres différentes, ce qui me permet de choisir les verres en fonction de la luminosité, qui varie beaucoup en montagne et sur l’eau ».