Il y a encore peu de temps, un fonds d'optique se cédait pour un montant atteignant 80 à 100% de son chiffre d'affaires. Ce n'est plus le cas aujourd'hui, comme le révèlent nos confrères du mensuel Bien Vu dans son édition d'avril 2008. Hausse du nombre de magasins, renforcement de la concurrence, baisse du chiffre d'affaires de nombreux points de vente... : ces facteurs pèsent aujourd'hui sur la valeur de votre magasin qui, selon cet article, n'atteindra probablement pas, en cas de cession, la hauteur espérée.

Sur une double page, le magazine détaille, témoignages d'experts à l'appui, les raisons de la frilosité des banques lors de la reprise d'un point de vente. Il explique les nouvelles règles de calcul de sa valeur, qui n'est plus aujourd'hui basée sur son seul chiffre d'affaires.

Dans ce nouveau contexte, l'article développe les solutions permettant de pérenniser la valeur initiale de votre magasin, qui passent notamment par le maintien d'un équilibre financier durable. Il éclaire également les repreneurs sur les moyens d'améliorer leur crédibilité aux yeux des établissements financiers, qui assimilent désormais l'optique à un secteur "comme les autres", et non plus, comme ce fut longtemps le cas, à une activité surcotée et systématiquement rentable.

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