La revue médicale Nature Genetics publie les résultats d'une étude, menée par des chercheurs de l'école de médecine d'Harvard, et selon laquelle, les variations dans trois gènes augmenteraient les risques de développement de la DMLA (Dégénérescence maculaire liée à l'âge). Rappelons que cette maladie est actuellement la première cause de cécité chez les plus de 50 ans dans les pays occidentaux.

Le Dr Johanna M. Seddon, et son équipe ont mené cette étude sur 2 172 personnes de plus de 60 ans et de descendance européenne. Parmi elles, 1 238 sont atteintes de DMLA. Les chercheurs ont ainsi noté différentes variations de trois gènes qui permettraient d'apporter des traitements préventifs et de combattre ainsi la maladie dès les premiers signes de son apparition, chez les personnes ayant cette configuration génétique.